L'important c'est la qualité de la viande

L'important c'est la qualité de la viande

Pour Aurélie Laborde, éleveuse à Lougratte dans le Lot et Garonne, c'est une évidence: la qualité de la viande fait toute la différence.

«60% de mes porcs sont achetés directement par des artisans bouchers et charcutiers, et des agriculteurs qui se diversifient en vendant sur les marchés ou en vente directe. Ils exigent une viande de qualité, bien structurée, qui ne rend pas d’eau, une viande maigre, d’une belle couleur rosée et qui se tient bien».


Installée depuis 5 ans, Aurélie est fidèle à IMEVIA et à la génétique HYPOR qui lui apportent toutes les qualités attendues. Pourtant, elle a testé une autre génétique. Pour voir et comparer. «C’était sans appel : les porcs étaient mous à la naissance, beaucoup moins toniques et les artisans charcutiers mécontents de la viande qui ne se tenait pas. Mes clients sont exigeants, si la qualité de la viande ne leur convient pas, ils le font savoir rapidement. C’est logique, eux aussi ont une clientèle à servir. Avec IMEVIA je sais que je les satisfais et que je peux compter sur une régularité des produits. Pour moi c’est essentiel».


Des porcs heureux


Aurélie a aussi fait le choix de l’authentique et elle élève ses porcs sur paille. «J’ai constaté qu’ils se développent mieux, ils sont bien «éclatés», très musclés et homogènes. En plus, mes porcs ont un comportement différent, ils sont heureux, pas stressés, donc beaucoup moins agressifs entre eux, ce qui me permet aussi de ne plus leur couper les dents et la queue. Mes clients y sont sensibles. Ils apprécient aussi de savoir que l’aliment est produit à la ferme, c’est mon frère Frédéric qui s’en
occupe. La qualité de la viande s’en ressent. Nos porcs font peu de gras, et on a de bonnes plus-values donc tout le monde s’y retrouve».

Une éleveuse zen

Pour Aurélie la génétique et le choix de son fournisseur sont un enjeu majeur. «IMEVIA sait s’adapter à mes besoins et à mes exigences. Je suis aujourd’hui sereine, très satisfaite des performances techniques et qualitatives et, depuis 5 ans, je vois, au travers de mes animaux, l’évolution du progrès génétique».